Le saviez-vous ? Avant d’être photographe, Disdéri a eu plusieurs métiers : commis-voyageur, fabricant de lingerie, bonnetier et peintre.
Sa femme, Geneviève Elisabeth Francart-Disdéri (1817-1878), est une des rares femmes photographes de l’époque à être reconnue à l’étranger pour son art.
Bien que connu pour ses portraits, Disdéri a eu d’autres sujets d’intérêt. Après l’écrasement de la Commune (1871), il photographie les corps des fusillés. 20 ans plus tard, il ouvre à Saint-Cloud un studio réservé à la photographie équestre.
Il meurt ruiné à l’hôpital Sainte-Anne, établissement réservé, entre autres, aux indigents et il a été enterré dans une tranchée réservée aux inhumations gratuites.